Musique | TANGOMOTÁN
Du
28 Mai, 2019 21:00
jusqu'au 28 Mai, 2019 22:30
Posté par
Qui fait quoi dans ma ville
Mots clés: Spectacles, Franconville
Visites: 906
TANGOMOTÁN
MUSIQUE
MARDI 28 MAI - 21H - DURÉE : 1H20 - TARIF : D – TP : 16€/TR : 13€
Mise en scène : Flannan Obé
• Violon : David Haroutunian
• Bandonéon : Marion Chiron
• Piano : Leandro Lacapere
• Contrebasse : Blanche Stromboni
• Dessin : Jules Stromboni
En hommage aux origines ouvrières du tango, les quatre musiciens du groupe Tangomotán portent un bleu de travail pour jouer.
Et du travail, il y en a eu, vu la qualité de leur premier disque Défense d’afficher.
Deux femmes et deux hommes issus du Conservatoire de Paris, quatre instruments, un champ de bataille et le Tango.
Tandis que la musique parfois étonne, car ici les compositions de tangos très classiques sont parfois saupoudrées avec finesse d’influences multiples (pop-rock, électro, musique tzigane, ...),
le tempérament reste fidèle aux racines :
toute l’ambiguïté est là, entre exaltation et mélancolie, véhémence et douceur, espoir et fureur.
Tangomotán aime improviser et ne se lasse jamais de réinterpréter, de travailler, d’évoluer, de s’affranchir pour mieux redécouvrir ce tango qu’ils rendent palpable, charnel, visuel.
La présence de Jules Stromboni, génial dessinateur qui illustre ou plutôt vagabonde au gré de la musique, pose en images notre imaginaire.
Le temps d’un concert les minutes sont suspendues : passé, présent et futur se rencontrent et se répondent.
Tout a changé.
Rien n’a changé. Ici on rit comme on pleure, on vit comme on peut, et sous le plaisir du jeu encore et toujours la révolte gronde.
MUSIQUE
MARDI 28 MAI - 21H - DURÉE : 1H20 - TARIF : D – TP : 16€/TR : 13€
Mise en scène : Flannan Obé
• Violon : David Haroutunian
• Bandonéon : Marion Chiron
• Piano : Leandro Lacapere
• Contrebasse : Blanche Stromboni
• Dessin : Jules Stromboni
En hommage aux origines ouvrières du tango, les quatre musiciens du groupe Tangomotán portent un bleu de travail pour jouer.
Et du travail, il y en a eu, vu la qualité de leur premier disque Défense d’afficher.
Deux femmes et deux hommes issus du Conservatoire de Paris, quatre instruments, un champ de bataille et le Tango.
Tandis que la musique parfois étonne, car ici les compositions de tangos très classiques sont parfois saupoudrées avec finesse d’influences multiples (pop-rock, électro, musique tzigane, ...),
le tempérament reste fidèle aux racines :
toute l’ambiguïté est là, entre exaltation et mélancolie, véhémence et douceur, espoir et fureur.
Tangomotán aime improviser et ne se lasse jamais de réinterpréter, de travailler, d’évoluer, de s’affranchir pour mieux redécouvrir ce tango qu’ils rendent palpable, charnel, visuel.
La présence de Jules Stromboni, génial dessinateur qui illustre ou plutôt vagabonde au gré de la musique, pose en images notre imaginaire.
Le temps d’un concert les minutes sont suspendues : passé, présent et futur se rencontrent et se répondent.
Tout a changé.
Rien n’a changé. Ici on rit comme on pleure, on vit comme on peut, et sous le plaisir du jeu encore et toujours la révolte gronde.
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